Cette nouvelle guerre contre les insurgés islamistes inquiète les civils, généralement exposés aux affrontements, d’autant plus que l'armée nigériane est accusée par des Ong de violation des droits humains dans sa répression. Plusieurs civils ont quitté leur localité, de peur d’un nouveau bain de sang.
D’autre part, l'armée a déployé des troupes aux frontières avec le Cameroun pour empêcher les membres de Boko Haram de sortir du pays, indiquent des habitants. Vendredi matin, il était trop tôt pour savoir si les rives du Lac Tchad et la frontière avec le Niger étaient contrôlées.
Selon des habitants dans le nord de Borno, des troupes lourdement armées et des chars sont arrivés le 15 mai à Gamboru Ngala, une ville située à la frontière camerounaise. L’armée nigériane a encerclé plusieurs localités dans cette zone, dont Krenuwa.
Des milliers de soldats ont été déployés dans les Etats de Borno, Yobe et Adamawa, où l'état d'urgence a été décrété le 14 mai par le président Goodluck Jonathan, ayant reconnu que les insurgés islamistes occupaient certaines régions de Borno.
D’autre part, l'armée a déployé des troupes aux frontières avec le Cameroun pour empêcher les membres de Boko Haram de sortir du pays, indiquent des habitants. Vendredi matin, il était trop tôt pour savoir si les rives du Lac Tchad et la frontière avec le Niger étaient contrôlées.
Selon des habitants dans le nord de Borno, des troupes lourdement armées et des chars sont arrivés le 15 mai à Gamboru Ngala, une ville située à la frontière camerounaise. L’armée nigériane a encerclé plusieurs localités dans cette zone, dont Krenuwa.
Des milliers de soldats ont été déployés dans les Etats de Borno, Yobe et Adamawa, où l'état d'urgence a été décrété le 14 mai par le président Goodluck Jonathan, ayant reconnu que les insurgés islamistes occupaient certaines régions de Borno.