Les chauffeurs de bus et de taxis se sont fait entendre ce mercredi à Bangui.
Harcelés, selon eux, par les rebelles de la Seleka, les professionnels du secteur ont observé une grève de 24 heures pour exprimer leur ras-le-bol. Le dernier incident en date les a poussés à prendre des mesures
Et même si l’heure est à l’apaisement avec le gouvernement centrafricain, les chauffeurs restent sur leurs gardes comme l'explique René-Pierre Sokambi-Kandja. Il est le SG du syndicat des conducteurs et receveurs des taxis et bus de Bangui
Autre grogne sociale à apaiser pour les nouveaux maitres de la Centrafrique : celle d’éléments de la Séléka qui s’étaient vus promettre une belle prime pour renverser François Bozizé.
Plus d’un mois après la marche victorieuse sur Bangui, ces rebelles attendent toujours et se font entendre aux environs de l’hôtel Ledger où réside Michel Djotodia. Le commandement de la Séléka demande encore un peu de patience comme l’explique le colonel Djouma Narkoyo
Harcelés, selon eux, par les rebelles de la Seleka, les professionnels du secteur ont observé une grève de 24 heures pour exprimer leur ras-le-bol. Le dernier incident en date les a poussés à prendre des mesures
Et même si l’heure est à l’apaisement avec le gouvernement centrafricain, les chauffeurs restent sur leurs gardes comme l'explique René-Pierre Sokambi-Kandja. Il est le SG du syndicat des conducteurs et receveurs des taxis et bus de Bangui
Autre grogne sociale à apaiser pour les nouveaux maitres de la Centrafrique : celle d’éléments de la Séléka qui s’étaient vus promettre une belle prime pour renverser François Bozizé.
Plus d’un mois après la marche victorieuse sur Bangui, ces rebelles attendent toujours et se font entendre aux environs de l’hôtel Ledger où réside Michel Djotodia. Le commandement de la Séléka demande encore un peu de patience comme l’explique le colonel Djouma Narkoyo