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Premier League : le leader Arsenal veut confirmer chez Liverpool


L'entraineur d'Arsenal Arsène Wenger (droite) donne des instructions à sa nouvelle recrue Alexis Sanchez pour son premier match avec le club, lors de la Coupe des Emirats de football entre Arsenal et Benfica au Arsenal's Emirates Stadium de Londres, le 2 aout 2014. (AP Photo/Matt Dunham).
L'entraineur d'Arsenal Arsène Wenger (droite) donne des instructions à sa nouvelle recrue Alexis Sanchez pour son premier match avec le club, lors de la Coupe des Emirats de football entre Arsenal et Benfica au Arsenal's Emirates Stadium de Londres, le 2 aout 2014. (AP Photo/Matt Dunham).

Actuellement, douze points séparent les Gunners de leur adversaire, qui se traine à une indigne 8e place.

Le leader Arsenal se rend mercredi à Liverpool avec l'idée de réaliser un grand coup et de s'affirmer un peu plus comme un champion crédible en mai, même si les Reds sont englués dans le ventre mou du classement avant la 21e journée de Premier League.

Actuellement 12 points séparent les Gunners de leur adversaire, qui se traine à une indigne 8e place. Le défi pour les Londoniens, fort en symbole, n'a donc rien d'impossible.

"La dynamique crée de la confiance et la confiance est essentielle à ce niveau", rappelle à cet effet leur entraîneur Arsène Wenger qui vient de prendre 15 points sur 18, contre sept à son adversaire sur la même période.

"En décembre et maintenant en janvier, on a été très régulier et on entre maintenant dans une phase très importante avec beaucoup de matches qui s'enchainent."

"Mais chaque fois que l'on va à Anfield, l'adversaire est remonté, prévient-il encore. C'est toujours une bataille féroce, quel que soit l'entraîneur en face. Celui d'avant (Brendan Rodgers, ndlr) était très fort, celui-ci l'est aussi et Klopp a la personnalité pour faire de belles choses là-bas."

La balance historique pèse toujours en faveur des Reds, qui ont encore ramené un bon 0-0 de l'Emirates en août. Mais les Gunners, même s'ils n'ont plus gagné depuis septembre 2012 sur les bords de la Mersey, n'ont perdu qu'une seule de leurs neuf dernières confrontations.

Avec trois victoires contre deux à Klopp -et également un nul-, Wenger a également pris l'habitude de dominer l'Allemand lors de leurs premières oppositions européennes du temps où son adversaire entraînait Dortmund.

- Giroud plane -

Au niveau des forces en présence, les défections lourdes frappent équitablement les deux camps, mais cela semble nettement plus préjudiciable à Liverpool, où Klopp, adepte d'un style engagé, regrette désormais publiquement l'enchaînement des matches alors qu'il entame un marathon de six rencontres en 18 jours.

Il a ainsi changé vendredi ses 11 titulaires contre Exeter en coupe, sans pouvoir toutefois éviter un embarrassant 2-2 contre une équipe de 4e division.

Toujours sans Skrtel et Lovren derrière, le technicien allemand pourrait commencer avec une charnière Touré-Sakho... susceptible de se transformer en un duo Can-Lucas, habituellement milieux de terrain, si aucun des deux défenseurs n'est apte finalement.

Au milieu, si Henderson est remis, l'absence du meneur Coutinho empêche toujours le buteur Benteke de se libérer.

En face, Giroud plane avec ses 16 buts, dont 10 en championnat et l'absence du détonateur Sanchez est parfaitement compensée par l'emprise du métronome Özil, 16 passes décisives. L'absence de l'Allemand, comme celle du milieu Ramsey, n'ont d'ailleurs nullement empêché Arsenal d'éliminer samedi Sunderland (3-1) avec une équipe remaniée.

Alors certes, les Gunners sont toujours privés au milieu de la paire Cazorla-Coquelin. Mais ils semblent pourtant avoir pour une fois les moyens de leurs ambitions.

Avec AFP

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