Le Mouvement populaire de libération de l’Angola (MPLA) est le grand vainqueur des législative du 31 août. Selon la commission électorale angolaise, le parti du président Eduardo Dos Santos a reporté 72% des voix, contre 18% à l’UNITA, le principal parti d’opposition, et 5,5 % à Casa, un nouveau parti d’opposition.
Les observateurs de l’Union africaine affirment que le scrutin était libre et transparent, mais l’UNITA entend introduire des recours. Le parti procèdera à son propre décompte des suffrages, a fait savoir son porte-parole, Alcides Sakala. L’UNITA, a-t- il dit, est préoccupée le nombre d’électeurs inscrits et celui des électeurs ayant effectivement voté.
Dans un quartier pauvre de Luanda, la capitale, Rita, une marchande charbon et de bois de chauffe, peut voir deux nouveaux complexes de bureaux en cours de construction. La vie n’est pas facile pour elle. Rita ne trouve pas de clients. Elle a voté pour le MPLA aux dernières législatives.
Le président a fait de bonnes choses, comme de nouvelles routes, dit-elle en déplorant toutefois la destruction de hangars et d’étals dans ce processus. Pour elle, la stabilité est la chose la plus importante et, après 33 ans de régime MPLA, les autres options sont difficiles à imaginer. Dos Santos est son président, et elle ne veut pas de quelqu’un d’autre malgré la vie difficile qu’elle mène.
Les législatives de vendredi étaient seulement les troisièmes depuis l’indépendance de l’Angola en 1979, et les deuxièmes depuis la fin de la sanglante guerre entre le MPLA et l’UNITA.
Le taux de participation se situe à 57% des 9,7 millions d’électeurs inscrits.
Au pouvoir depuis 1979, le président Dos Santos décrocherait un autre mandat de cinq ans en cas de confirmation de la victoire du MPLA.
Les observateurs de l’Union africaine affirment que le scrutin était libre et transparent, mais l’UNITA entend introduire des recours. Le parti procèdera à son propre décompte des suffrages, a fait savoir son porte-parole, Alcides Sakala. L’UNITA, a-t- il dit, est préoccupée le nombre d’électeurs inscrits et celui des électeurs ayant effectivement voté.
Dans un quartier pauvre de Luanda, la capitale, Rita, une marchande charbon et de bois de chauffe, peut voir deux nouveaux complexes de bureaux en cours de construction. La vie n’est pas facile pour elle. Rita ne trouve pas de clients. Elle a voté pour le MPLA aux dernières législatives.
Le président a fait de bonnes choses, comme de nouvelles routes, dit-elle en déplorant toutefois la destruction de hangars et d’étals dans ce processus. Pour elle, la stabilité est la chose la plus importante et, après 33 ans de régime MPLA, les autres options sont difficiles à imaginer. Dos Santos est son président, et elle ne veut pas de quelqu’un d’autre malgré la vie difficile qu’elle mène.
Les législatives de vendredi étaient seulement les troisièmes depuis l’indépendance de l’Angola en 1979, et les deuxièmes depuis la fin de la sanglante guerre entre le MPLA et l’UNITA.
Le taux de participation se situe à 57% des 9,7 millions d’électeurs inscrits.
Au pouvoir depuis 1979, le président Dos Santos décrocherait un autre mandat de cinq ans en cas de confirmation de la victoire du MPLA.