Les délégués des rebelles du Soudan du Sud et des représentants du gouvernement ont entrepris ce mardi, 7 janvier, des pourparlers visant à mettre un terme à plus de trois semaines de combats meurtriers.
Les deux parties, qui sont réunies à Addis-Abeba en Ethiopie, ont convenu d'un programme axé sur l’observation d'un cessez-le- feu et sur le sort de 11 personnes détenues par le gouvernement.
Le démarrage des négociations a été retardé pendant des jours, mais les représentants des deux côtés se disent optimistes qu’ils parviendront à une solution.
La violence a fait plus de 1.000 morts et forcé environ 200.000 personnes à fuir leurs domiciles.
Le président du Soudan Omar al-Bashir a visité le Soudan du Sud, lundi, 6 janvier, et a promis que son gouvernement ne soutiendra pas les rebelles de son voisin du sud.
Dans le passé, les deux Soudans se sont mutuellement accusés de soutenir les rebelles sur le territoire de l'autre.
Cette crise au Soudan du Sud a commencé le 15 décembre, lorsque des rebelles ont attaqué un QG de l'armée. Le président Kiir avait alors accusé l'ancien vice-président Riek Machar de tentative de coup d'Etat. M. Machar avait appelé l'armée à renverser le président.
Les deux parties, qui sont réunies à Addis-Abeba en Ethiopie, ont convenu d'un programme axé sur l’observation d'un cessez-le- feu et sur le sort de 11 personnes détenues par le gouvernement.
Le démarrage des négociations a été retardé pendant des jours, mais les représentants des deux côtés se disent optimistes qu’ils parviendront à une solution.
La violence a fait plus de 1.000 morts et forcé environ 200.000 personnes à fuir leurs domiciles.
Le président du Soudan Omar al-Bashir a visité le Soudan du Sud, lundi, 6 janvier, et a promis que son gouvernement ne soutiendra pas les rebelles de son voisin du sud.
Dans le passé, les deux Soudans se sont mutuellement accusés de soutenir les rebelles sur le territoire de l'autre.
Cette crise au Soudan du Sud a commencé le 15 décembre, lorsque des rebelles ont attaqué un QG de l'armée. Le président Kiir avait alors accusé l'ancien vice-président Riek Machar de tentative de coup d'Etat. M. Machar avait appelé l'armée à renverser le président.