Le président kényan Uhuru Kenyatta a limogé mardi son ministre de l'Intérieur et a mis à la retraite anticipée le chef de la police, quelques heures après une nouvelle attaque sanglante des islamistes somaliens shebab dans le nord-est du pays dont le bilan est d'au moins 36 morts. Vingt-huit autre personnes ont été tuées une semaine plus tôt, visées pour être chrétiennes.
Kenya : les autorités de la sécurité limogées suite à une nouvelle attaque des shebab
Le président kenyan Uhuru Kenyatta, à gauche, avec le vice-président William Ruto, lors d'une conférence de press à la Maison Blanche, à Nairobi, Kenya, le 2 décembre 2014.
Des militaires kenyans ainsi que des volontaires de la Croix-Rouge portent des corps des personnes tuées dans une carrière au village Korome, en dehors de la ville frontalière de Mandera, au Kenya, le 2 décembre 2014.
Des équipes de secours alignées près de la carrière où des assaillants ont tué au moins 36 travailleurs dans un village Korome, en dehors de la ville frontalière de Mandera, le 2 décembre 2014.
Des militaires kenyans ainsi que des volontaires de la Croix-Rouge portent des corps des personnes tuées dans une carrière au village Korome, en dehors de la ville frontalière de Mandera, au Kenya, le 2 décembre 2014.
Des militaires kenyans ainsi que des volontaires de la Croix-Rouge portent des corps des personnes tuées dans une carrière au village Korome, en dehors de la ville frontalière de Mandera, au Kenya, le 2 décembre 2014.
Des corps de Kenyans tués lors d'une attaque des extremistes dans une carrière dans le comté de Mandera, au Kenya, le 2 décembre 2014.
Un avion militaire transportant kenyane certains des corps des personnes tuées dans la carrière attaque Mandera, arrive à l'aéroport Wilson à Nairobi, au Kenya, le mardi 2 décembre 2014.