En images : dans les camps de réfugiés et de déplacés de Diffa, au Niger

Des enfants lavent leurs ardoises dans une salle de classe du camp de Ngourtoua, Diffa, Niger, le 1er mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

Des vêtements sèchent dans le camp d'Assaga, à Diffa, au Niger, 29 février 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

Des enfants courent après le véhicule de VOA Afrique, dans le camp Assaga, au Niger, le 29 février 2016. (VOA/Nicoals Pinault)

El Hadj Tahirou, le tailleur nigérian du camp d'Assaga, à Diffa, au Niger, le 29 février 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

Des hommes prient, le visage balayé par le vent et le sable, dans le camp Assaga de Diffa, au Niger, le 3 mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

Des femmes et des enfants tirent de l'eau du puits dans le camp Assaga, à Diffa, au Niger, le 3 mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

Un enfant dans le camp d'Assaga, au Niger, le 3 mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

Munis de fournitures données par l'Unicef, ces écoliers du camp de Ngourtoua écoutent leur instituteur, à Diffa, le 1er mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

Oumara Gobo, chef du village d'Assaga-Niger. Il veille sur 100 familles dans ce camp de déplacés près de Diffa, le 28 février 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

Un travailleur humanitaire pose de la paille sur le toît d'une case dans le camp d'Assaga, Diffa, le 29 février 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

Des réfugiés d'Assaga-Nigeria montrent leur production de poivrons rouges, le 28 février 2016. Le commerce en avait été interdit pendant des mois car les autorités estimaient que cela finançait Boko Haram. (VOA/Nicolas Pinault)

Des réfugiés nigérians réunis dans le camp d'Assaga, près de Diffa, le 28 février 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

Une élève de 10 ans écrit sur le tableau d'une salle de classe provisoire dans le camp de Ngourtoua, près de Diffa, au Niger, le 1er mars 2016. (VOA/Nicolas Pinault)

Même si la sécurité s’est améliorée dans la région de Diffa, des centaines de milliers de personnes sont soit déplacées soit réfugiées côté nigérien de la frontière. Regardez les images de notre envoyé spécial Nicolas Pinault.