Le Premier ministre tchadien, Joseph Djimrangar Dadnadji, menacé par une motion de censure de l’assemblée nationale, a présenté jeudi sa démission au chef de l’État, Idriss Déby Itno.
Selon notre correspondant à N’Djamena, François Djékombé, le Premier ministre a noté que la majorité parlementaire du parti au pouvoir, le Mouvement patriotique du salut (MPS) « s’opposait à la poursuite de ma mission ». D’où sa décision d’abandonner ses fonctions. La lettre de démission du ministre a été lue à la télévision nationale en début d’après-midi.
En tout, 74 députés de son propre camp avaient souscrits à la motion de censure initiée contre son gouvernement en début de semaine. Les signataires lui reprochaient surtout sa mauvaise gestion.
Pour une analyse de la démission du Premier ministre tchadien, Timothée Donangmaye a recueilli l’éclairage de Gilbert Maoundonodji, professeur de droit public à l’université de N’Djamena.
Selon notre correspondant à N’Djamena, François Djékombé, le Premier ministre a noté que la majorité parlementaire du parti au pouvoir, le Mouvement patriotique du salut (MPS) « s’opposait à la poursuite de ma mission ». D’où sa décision d’abandonner ses fonctions. La lettre de démission du ministre a été lue à la télévision nationale en début d’après-midi.
En tout, 74 députés de son propre camp avaient souscrits à la motion de censure initiée contre son gouvernement en début de semaine. Les signataires lui reprochaient surtout sa mauvaise gestion.
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Pour une analyse de la démission du Premier ministre tchadien, Timothée Donangmaye a recueilli l’éclairage de Gilbert Maoundonodji, professeur de droit public à l’université de N’Djamena.