La Banque africaine de développement (BAD) et le Comité inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS) ont lancé la phase 2 du Programme de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P2-P2RS) le 15 avril 2024 à Ouagadougou.
Pour Boubou Cabeuil, de la Société Civile à Bougouni, l'élimination d'Abou Houzeifa "fait remonter le moral des troupes et soulage les populations touchées.
Un groupe regroupant des partis politiques et des organisations de la société civile malienne a déposé un recours devant la Cour suprême lundi, demandant l'annulation du récent décret suspendant les activités politiques.
Plus de 110 civils sont retenus depuis six jours par des "jihadistes" présumés dans le centre du Mali, pays sahélien plongé dans une grave crise sécuritaire, ont affirmé des sources locales à l'AFP lundi.
Les États-Unis sont "profondément préoccupés" par les récentes mesures prises par le gouvernement de transition au Mali. Le 10 avril, le gouvernement a publié un décret suspendant tous les partis et associations politiques et interdisant aux médias de rendre compte de l'activité politique.
Les autorités maliennes dominées par les militaires ont annoncé mercredi la dissolution d'un mouvement critique à leur égard auquel elles reprochent "des agissements de nature à troubler l’ordre publique" et attentatoires "à l'unité nationale", selon un communiqué du conseil des ministres.
Sekou Niamey Bathily, porte-parole du Rassemblement pour le Mali, ancien parti au pouvoir réagit à la décision de la junte malienne de suspendre les activités des partis et des associations à caractère politique et d'interdire aux medias de communiquer sur leurs activités.
La junte au pouvoir au Mali n'organisera des élections en vue d'un retour des civils au pouvoir qu'une fois le pays définitivement stabilisé, a déclaré le Premier ministre malien nommé par les militaires, Choguel Kokalla Maïga.
Le directeur de publication de La Voix du Mali Tiambel Guimbayara réagit à la décision de la junte malienne de suspendre les activités des partis et des associations à caractère politique et d'interdire aux medias de communiquer sur les activités des partis et associations politiques.
La junte au pouvoir au Mali a continué jeudi à sévir contre toute forme de contradiction en faisant interdire aux médias de couvrir les partis politiques après avoir suspendu les activités de ces derniers la veille.
Les partis politiques et associations du Mali sont encore sous le choc après deux mesures des autorités de transition les prenant pour cibles. Une décision du Conseil des ministres de mercredi suspend leurs activités pour une période indéterminée.
Une vingtaine de partis et d’organisations de la société civile du Mali se sont retrouvés dimanche au siège du parti ADEMA-PASJ pour signer un communiqué conjoint demandant aux autorités d’organiser au plus vite l’élection présidentielle.
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