Le président Barack Obama a promis l’appui des Etats-Unis au gouvernement irakien, mais a exclu tout rôle actif des forces américaines en Irak. Pour sa part, le Premier ministre irakien, Nouri al-Maliki, a proposé un salaire mensuel à ceux qui se portent volontaires pour combattre l’insurrection aux côtés des forces de sécurité.
Le chef de l’exécutif américain s’est exprimé jeudi au sujet de l’aide que les Etats-Unis entendent apporter au gouvernement irakien face aux insurgés de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL).
« Nous sommes prêts à envoyer un petit nombre supplémentaire de conseillers militaires américains – jusqu’à 300 – pour évaluer comment nous allons mieux former, conseiller et soutenir les forces de sécurités irakiennes. Les forces américaines ne retourneront pas au combat en Irak, mais nous aiderons les Irakiens à mesure qu’ils portent la guerre aux terroristes », a déclaré M. Obama.
Mercredi au Congrès, le chef d'état-major inter-armées américain, le général Martin Dempsey, a déclaré à un sous-comité du Sénat que le gouvernement irakien réclame des frappes aériennes américaines. Mais il a vivement critiqué M. al-Maliki, faisant valoir que sa politique de marginalisation de la communauté sunnite et des Kurdes a planté les germes de la crise actuelle. « Le gouvernement d'Irak a négligé les siens. C'est ce qui est à l'origine du problème », a-t-il dit.
En Irak même, le Premier ministre a proposé une solde de 644 dollars à ceux qui se portent volontaires pour le combat, avec en prime une allocation supplémentaire pour l’alimentation.
Le chef de l’exécutif américain s’est exprimé jeudi au sujet de l’aide que les Etats-Unis entendent apporter au gouvernement irakien face aux insurgés de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL).
« Nous sommes prêts à envoyer un petit nombre supplémentaire de conseillers militaires américains – jusqu’à 300 – pour évaluer comment nous allons mieux former, conseiller et soutenir les forces de sécurités irakiennes. Les forces américaines ne retourneront pas au combat en Irak, mais nous aiderons les Irakiens à mesure qu’ils portent la guerre aux terroristes », a déclaré M. Obama.
Mercredi au Congrès, le chef d'état-major inter-armées américain, le général Martin Dempsey, a déclaré à un sous-comité du Sénat que le gouvernement irakien réclame des frappes aériennes américaines. Mais il a vivement critiqué M. al-Maliki, faisant valoir que sa politique de marginalisation de la communauté sunnite et des Kurdes a planté les germes de la crise actuelle. « Le gouvernement d'Irak a négligé les siens. C'est ce qui est à l'origine du problème », a-t-il dit.
En Irak même, le Premier ministre a proposé une solde de 644 dollars à ceux qui se portent volontaires pour le combat, avec en prime une allocation supplémentaire pour l’alimentation.