Le téléphone rouge ne répond plus entre la Corée du Sud et la Corée du Nord. Pyongyang avait pourtant rétabli cette ligne la semaine dernière dans le but de coordonner les négociations avec Séoul. Ce refus apparent des Nord-Coréens de communiquer réduit à néant les espoirs d’un dialogue significatif de haut niveau entre les deux voisins.
La Corée du Sud affirme avoir appelé en vain mercredi à deux reprises sur la ligne récemment réinstallée de la Croix-Rouge dans la zone tampon de Panmunjom.
Interrogé par un journaliste sur le sort des négociations - prévues à l’origine mercredi - le ministre de l'Unification de la Corée du Sud, Ryoo Kihl-jae, a répondu: « Les discussions sont annulées ».
M. Ryoo, qui aurait dû diriger la délégation de Séoul, si Pyongyang avait également accepté d'envoyer un représentant de niveau ministériel, a précisé : « Nous ne pourrons pas obtenir le résultat que nos gens attendaient. Mais je pense qu’il faut passer par là pour ouvrir un nouveau chapitre dans les relations entre la Corée du Sud et le Nord pour la paix et la coopération ». M. Ryoo demande cependant à Pyongyang de faire preuve de sincérité à cet égard.
Les Nord-Coréens ont informé Séoul mardi qu'ils n'enverraient pas de délégation, les 2 parties n’ayant pas pu s’entendre sur qui dirigerait la délégation de l’autre. Aucun commentaire de Pyongyang depuis que Séoul a annoncé l’annulation des pourparlers.
La semaine dernière, la Corée du Nord avait surpris le Sud en suggérant la reprise du dialogue. Une réunion de travail avait rapidement eu lieu à Panmunjom, et elle avait duré pas moins de 17 heures. Et dans la foulée, les deux pays avaient décidé d’envoyer des officiels de haut rang pour une rencontre de deux jours qui devait avoir lieu mercredi dans la capitale sud-coréenne.
La Corée du Sud affirme avoir appelé en vain mercredi à deux reprises sur la ligne récemment réinstallée de la Croix-Rouge dans la zone tampon de Panmunjom.
Interrogé par un journaliste sur le sort des négociations - prévues à l’origine mercredi - le ministre de l'Unification de la Corée du Sud, Ryoo Kihl-jae, a répondu: « Les discussions sont annulées ».
M. Ryoo, qui aurait dû diriger la délégation de Séoul, si Pyongyang avait également accepté d'envoyer un représentant de niveau ministériel, a précisé : « Nous ne pourrons pas obtenir le résultat que nos gens attendaient. Mais je pense qu’il faut passer par là pour ouvrir un nouveau chapitre dans les relations entre la Corée du Sud et le Nord pour la paix et la coopération ». M. Ryoo demande cependant à Pyongyang de faire preuve de sincérité à cet égard.
Les Nord-Coréens ont informé Séoul mardi qu'ils n'enverraient pas de délégation, les 2 parties n’ayant pas pu s’entendre sur qui dirigerait la délégation de l’autre. Aucun commentaire de Pyongyang depuis que Séoul a annoncé l’annulation des pourparlers.
La semaine dernière, la Corée du Nord avait surpris le Sud en suggérant la reprise du dialogue. Une réunion de travail avait rapidement eu lieu à Panmunjom, et elle avait duré pas moins de 17 heures. Et dans la foulée, les deux pays avaient décidé d’envoyer des officiels de haut rang pour une rencontre de deux jours qui devait avoir lieu mercredi dans la capitale sud-coréenne.