Après leur 3è et dernier débat télévisé lundi soir, ils se sont mis à battre campagne dès le lendemain à travers le pays, en revenant sur certains points de leur débat.
Par exemple, lors d’une étape à Delray Beach, en Floride, le président Obama a accusé M. Romney d’avoir changé de position sur plusieurs sujets: "Franchement, nous sommes habitués à voir des politiciens changer de position , des positions d’il y a , disons, quatre ans. Mais nous ne sommes pas habitués à voir des politiciens changer de position, des positions datant de quatre jours seulement. »
Intervenant près de Las Vegas, dans le Nevada, M. Romney a lui accusé le président de n’avoir aucun plan pour améliorer l’économie: " Nous avons eu quatre débats, les miens et celui des candidats à la vice-présidence, et nous n’avons pas entendu le président nous présenter un agenda. C’est pourquoi sa campagne est en train de couler, pendant que la nôtre a le vent en poupe”.
M. Obama a répondu aux critiques selon lesquelles il n’a pas dit spécifiquement ce qu’il comptait faire pendant les quatre prochaines années, en publiant une brochure sur ses projets pour un second mandat.
Le président y préconise des abattements fiscaux pour les compagnies qui créent des emplois; la réduction de la dépendance envers le pétrole étranger; l’accroissement des dépenses pour l’éducation et la formation professionnelle; la réduction du déficit, et la reconstruction de l’infrastructure de la nation.
Après la Floride, M. Obama s’est de nouveau rendu dans l’Ohio, un Etat incontournable, estiment toutes les 2 campagnes, pour une victoire en novembre. Cet Etat est tellement « courtisé » que certains comiques disent que MM. Obama et Romney briguent en réalité la présidence de l’Ohio.
A Dayton, le vice-président Joe Biden s’est joint au président lors d’un meeting populaire. Plus tôt dans la journée, à Toledo, M. Biden avait vivement critiqué Mitt Romney pour des commentaires qu’il avait faits sur la politique étrangères pendant le débat de lundi soir: "Que ce soit sur la puissance de la marine américaine, ou nos projets pour l’Afghanistan, la manière de traiter avec l’Iran ou encore nos relations avec Israël, vous avez vu clairement que ces gens-là n’ont rien compris ».
Il faut dire que le député Paul Ryan du Wisconsin, le colistier de M. Romney, s’était lui aussi joint à l’ancien gouverneur dans le Nevada. Il a critiqué la gestion économique du président : "Nous ne devons pas nous contenter de 23 millions d’Américains toujours à la recherché d’emplois. Nous ne devons pas nous contenter d’un taux de chômage de 11,8% dans le Nevada. Nous ne devons pas nous contenter de toutes ces hypothèques qui sont plus chères que les maisons concernées. Nous ne devons pas nous contenter de 15% de nos compatriotes vivant dans la pauvreté”.
Pendant ce temps, les sondages d’opinion renvoient dos-à-dos le président et l’ancien gouverneur du Massachussetts.
Bien que les sondages d’opinion donnent l’avantage au président Obama lors de son débat de lundi avec M. Romney, l’écart se rétricit entre les deux candidats dans la plupart des Etats-clé.
Par exemple, lors d’une étape à Delray Beach, en Floride, le président Obama a accusé M. Romney d’avoir changé de position sur plusieurs sujets: "Franchement, nous sommes habitués à voir des politiciens changer de position , des positions d’il y a , disons, quatre ans. Mais nous ne sommes pas habitués à voir des politiciens changer de position, des positions datant de quatre jours seulement. »
Intervenant près de Las Vegas, dans le Nevada, M. Romney a lui accusé le président de n’avoir aucun plan pour améliorer l’économie: " Nous avons eu quatre débats, les miens et celui des candidats à la vice-présidence, et nous n’avons pas entendu le président nous présenter un agenda. C’est pourquoi sa campagne est en train de couler, pendant que la nôtre a le vent en poupe”.
M. Obama a répondu aux critiques selon lesquelles il n’a pas dit spécifiquement ce qu’il comptait faire pendant les quatre prochaines années, en publiant une brochure sur ses projets pour un second mandat.
Le président y préconise des abattements fiscaux pour les compagnies qui créent des emplois; la réduction de la dépendance envers le pétrole étranger; l’accroissement des dépenses pour l’éducation et la formation professionnelle; la réduction du déficit, et la reconstruction de l’infrastructure de la nation.
Après la Floride, M. Obama s’est de nouveau rendu dans l’Ohio, un Etat incontournable, estiment toutes les 2 campagnes, pour une victoire en novembre. Cet Etat est tellement « courtisé » que certains comiques disent que MM. Obama et Romney briguent en réalité la présidence de l’Ohio.
A Dayton, le vice-président Joe Biden s’est joint au président lors d’un meeting populaire. Plus tôt dans la journée, à Toledo, M. Biden avait vivement critiqué Mitt Romney pour des commentaires qu’il avait faits sur la politique étrangères pendant le débat de lundi soir: "Que ce soit sur la puissance de la marine américaine, ou nos projets pour l’Afghanistan, la manière de traiter avec l’Iran ou encore nos relations avec Israël, vous avez vu clairement que ces gens-là n’ont rien compris ».
Il faut dire que le député Paul Ryan du Wisconsin, le colistier de M. Romney, s’était lui aussi joint à l’ancien gouverneur dans le Nevada. Il a critiqué la gestion économique du président : "Nous ne devons pas nous contenter de 23 millions d’Américains toujours à la recherché d’emplois. Nous ne devons pas nous contenter d’un taux de chômage de 11,8% dans le Nevada. Nous ne devons pas nous contenter de toutes ces hypothèques qui sont plus chères que les maisons concernées. Nous ne devons pas nous contenter de 15% de nos compatriotes vivant dans la pauvreté”.
Pendant ce temps, les sondages d’opinion renvoient dos-à-dos le président et l’ancien gouverneur du Massachussetts.
Bien que les sondages d’opinion donnent l’avantage au président Obama lors de son débat de lundi avec M. Romney, l’écart se rétricit entre les deux candidats dans la plupart des Etats-clé.