Barack Obama a quitté samedi le Proche-Orient après une visite historique au cours de laquelle il a rassuré son allié israélien, mettant en garde contre un Iran nucléaire, et plaidé pour un règlement de l'interminable conflit avec les Palestiniens.
M. Obama a bouclé samedi le premier voyage de son second mandat présidentiel avec une promenade dans les ruines de l'antique cité de Petra en Jordanie.
Petra était l'ultime étape de la première visite présidentielle de Barack Obama en Israël, dans les Territoires palestiniens et en Jordanie. Il était arrivé à Amman vendredi après-midi pour des entretiens avec le roi Abdallah II axés sur la crise des réfugiés syriens qui affluent en Jordanie et les efforts de relance du processus de paix au Proche-Orient. M. Obama s'est dit "très inquiet" que la Syrie devienne une enclave des extrémistes et a promis une aide à la Jordanie confrontée à l'afflux de réfugiés syriens. Washington éprouve des réticences à armer les groupes d'opposition en Syrie, craignant qu'ils puissent être liés à Al-Qaïda.
La guerre civile en Syrie a fait plus de 70.000 morts et plus d'un million de réfugiés en deux ans, selon l'ONU. Le président américain a par ailleurs promis de demander au Congrès de fournir à la Jordanie 200 millions de dollars, destinés à venir en aide aux réfugiés syriens accueillis par le royaume hachémite.
Jeudi, le président américain avait appelé au départ du président syrien, mettant en garde contre "l'utilisation d'armes chimiques contre le peuple syrien ou leur transfert à des groupes terroristes". L'ONU a décidé d'enquêter sur l'utilisation éventuelle d'armes chimiques en Syrie, en réponse à une demande de Damas.
M. Obama a bouclé samedi le premier voyage de son second mandat présidentiel avec une promenade dans les ruines de l'antique cité de Petra en Jordanie.
Petra était l'ultime étape de la première visite présidentielle de Barack Obama en Israël, dans les Territoires palestiniens et en Jordanie. Il était arrivé à Amman vendredi après-midi pour des entretiens avec le roi Abdallah II axés sur la crise des réfugiés syriens qui affluent en Jordanie et les efforts de relance du processus de paix au Proche-Orient. M. Obama s'est dit "très inquiet" que la Syrie devienne une enclave des extrémistes et a promis une aide à la Jordanie confrontée à l'afflux de réfugiés syriens. Washington éprouve des réticences à armer les groupes d'opposition en Syrie, craignant qu'ils puissent être liés à Al-Qaïda.
La guerre civile en Syrie a fait plus de 70.000 morts et plus d'un million de réfugiés en deux ans, selon l'ONU. Le président américain a par ailleurs promis de demander au Congrès de fournir à la Jordanie 200 millions de dollars, destinés à venir en aide aux réfugiés syriens accueillis par le royaume hachémite.
Jeudi, le président américain avait appelé au départ du président syrien, mettant en garde contre "l'utilisation d'armes chimiques contre le peuple syrien ou leur transfert à des groupes terroristes". L'ONU a décidé d'enquêter sur l'utilisation éventuelle d'armes chimiques en Syrie, en réponse à une demande de Damas.