Ce traité est le tout premier du genre et a été durement négocié l’an dernier sous les auspices des Nations Unies, a fait savoir Lina Holguin, directrice des politiques Oxfam-Québec, membre de la coalition internationale Contrôlez les armes.
Pour les organisations qui se sont battues ces 20 dernières années en faveur du texte, il s’agit d’une avancée historique pour les droits humains, y compris sur le continent africain, compte tenu des 500 000 personnes qui meurent chaque année à cause de ce commerce très peu réglementé.
Les Etats-Unis, principal acteur du marché, ont signé le traité, mais ne l’ont pas encore ratifié.