Au Nigeria, le torchon brûle entre le président nigérian Goodluck et l’ancien chef de l’état Olusegun Obasanjo.
Les services du chef de l’Etat actuel ont réagi sévèrement à un courrier de son prédécesseur qui lui demande de ne pas briguer un nouveau mandat en 2015. L’un des conseillers du président a répondu qu'il était «très inconvenant, espiègle et provocateur" que la lettre ait atterri dans les médias.
Plusieurs organes de presse ont publié des extraits de la lettre de 18 pages. Dans ce document, M. Obasanjo écrit que ce serait une décision "fatalement et moralement erronée" pour M. Jonathan d’être candidat en 2015.
L'ancien président critique la gouvernance de M. Jonathan et affirme qu'il a encouragé la corruption à grande échelle au Nigeria.
Les services du chef de l’Etat actuel ont réagi sévèrement à un courrier de son prédécesseur qui lui demande de ne pas briguer un nouveau mandat en 2015. L’un des conseillers du président a répondu qu'il était «très inconvenant, espiègle et provocateur" que la lettre ait atterri dans les médias.
Plusieurs organes de presse ont publié des extraits de la lettre de 18 pages. Dans ce document, M. Obasanjo écrit que ce serait une décision "fatalement et moralement erronée" pour M. Jonathan d’être candidat en 2015.
L'ancien président critique la gouvernance de M. Jonathan et affirme qu'il a encouragé la corruption à grande échelle au Nigeria.