Madagascar est confronté à une invasion de criquets pèlerins, des essaims de milliards de ravageurs qui occupent les deux-tiers de l’ile et menacent la sécurité alimentaire, déjà fragilisée par la crise politique de ces dernières années.
Sur le terrain, l'Agence des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) redouble d’efforts pour aider les autorités malgaches à lutter contre l’invasion, organisant des patrouilles aériennes pour détecter les essaims et déployer des pesticides. Selon Annie Monnard, spécialiste de la question à la FAO, « la manière de lutter contre ce phénomène naturel, … c’est de se prémunir contre une dérive et une augmentation progressive des populations, pour justement ne pas se retrouver dans le paroxysme de ce phénomène naturel ».
« Donc justement tout ce que nous essayons de mettre en place, que ce soit pour lutter contre le criquet migrateur à Madagascar, contre le criquet pèlerin dans l’immensité de son aire de distribution, c’est une stratégie de lutte prévention qui repose sur l’observation … des populations acridiennes ».
Il est essentiel de répondre à l’augmentation des essaims dans les plus brefs délais, a souligné l’experte de la FAO, notamment à l’aide d’épandage de pesticides à grande échelle.
« Evidemment le choix se fait sur la nature des pesticides qui sont utilisés », fait valoir Mme Monnard, notamment pour respecter les bonnes pratiques agricoles et assurer un suivi.
« Ces pesticides sont répandus de manière à être au plus près des cibles que l’on a à traiter et pour limiter l’impact potentiel sur la santé humaine et l’environement ».
Sur le terrain, l'Agence des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) redouble d’efforts pour aider les autorités malgaches à lutter contre l’invasion, organisant des patrouilles aériennes pour détecter les essaims et déployer des pesticides. Selon Annie Monnard, spécialiste de la question à la FAO, « la manière de lutter contre ce phénomène naturel, … c’est de se prémunir contre une dérive et une augmentation progressive des populations, pour justement ne pas se retrouver dans le paroxysme de ce phénomène naturel ».
« Donc justement tout ce que nous essayons de mettre en place, que ce soit pour lutter contre le criquet migrateur à Madagascar, contre le criquet pèlerin dans l’immensité de son aire de distribution, c’est une stratégie de lutte prévention qui repose sur l’observation … des populations acridiennes ».
Il est essentiel de répondre à l’augmentation des essaims dans les plus brefs délais, a souligné l’experte de la FAO, notamment à l’aide d’épandage de pesticides à grande échelle.
« Evidemment le choix se fait sur la nature des pesticides qui sont utilisés », fait valoir Mme Monnard, notamment pour respecter les bonnes pratiques agricoles et assurer un suivi.
« Ces pesticides sont répandus de manière à être au plus près des cibles que l’on a à traiter et pour limiter l’impact potentiel sur la santé humaine et l’environement ».