Le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, a annoncé une nouvelle aide de 290 millions de dollars aux réfugiés syriens au Proche-Orient, dont « 51 millions de dollars (qui) iront directement aux réfugiés du Liban ». Les besoins restent énormes, a-t-il fait valoir, et sont loin d’être satisfaits.
Selon le Haut-Commissariat de l’ONU aux réfugiés (HCR), le Liban accueille plus d'un million de réfugiés syriens ayant fui la guerre civile qui ravage leur pays depuis 3 ans.
« J'interpelle en particulier les pays soutenant directement le régime d'Assad - dans ce qui est devenu une manifestation grotesque de guerre moderne par un Etat contre son propre peuple. Je leur demande – à l'Iran, à la Russie, et au Hezbollah, basé ici au Liban, de s'engager dans un effort légitime visant à mettre fin à cette guerre », a dit M. Kerry, lors d'une visite de quelques heures à Beyrouth mercredi. Il a déploré l'ampleur de la « catastrophe humaine qui se déroule devant nos yeux ».
Le secrétaire d’Etat américain, qui a conféré avec le Premier ministre libanais Tammam Salam, a également appelé les pays donateurs à tenir leurs engagements et à fournir toute l’aide promise.
Par ailleurs, M. Kerry a estimé que l’impasse politique au Liban, qui empêche la tenue de l’élection présidentielle, est profondément « troublante » et que les parlementaires libanais devraient y mettre fin dans les plus brefs délais. Depuis le 25 mai, le Liban est dans une situation de vacance de la présidence, les députés ayant échoué à élire un successeur à l’ex-président Michel Sleiman.
« Le Liban a besoin - et mérite - un gouvernement pleinement actif et fonctionnel » a dit M. Kerry. « Nous espérons que le parlement libanais élira un président rapidement ».
Selon le Haut-Commissariat de l’ONU aux réfugiés (HCR), le Liban accueille plus d'un million de réfugiés syriens ayant fui la guerre civile qui ravage leur pays depuis 3 ans.
« J'interpelle en particulier les pays soutenant directement le régime d'Assad - dans ce qui est devenu une manifestation grotesque de guerre moderne par un Etat contre son propre peuple. Je leur demande – à l'Iran, à la Russie, et au Hezbollah, basé ici au Liban, de s'engager dans un effort légitime visant à mettre fin à cette guerre », a dit M. Kerry, lors d'une visite de quelques heures à Beyrouth mercredi. Il a déploré l'ampleur de la « catastrophe humaine qui se déroule devant nos yeux ».
Le secrétaire d’Etat américain, qui a conféré avec le Premier ministre libanais Tammam Salam, a également appelé les pays donateurs à tenir leurs engagements et à fournir toute l’aide promise.
Par ailleurs, M. Kerry a estimé que l’impasse politique au Liban, qui empêche la tenue de l’élection présidentielle, est profondément « troublante » et que les parlementaires libanais devraient y mettre fin dans les plus brefs délais. Depuis le 25 mai, le Liban est dans une situation de vacance de la présidence, les députés ayant échoué à élire un successeur à l’ex-président Michel Sleiman.
« Le Liban a besoin - et mérite - un gouvernement pleinement actif et fonctionnel » a dit M. Kerry. « Nous espérons que le parlement libanais élira un président rapidement ».