Selon les agences de presse, plusieurs roquettes ont été tirées jeudi sur Gao, principale ville du nord du Mali, à quelques jours des élections législatives prévues dans le pays.
Au moins trois explosions ont retenti en début de journée, signalent des habitants et des sources sécuritaires. Les tirs n’auraient pas fait de victimes. Les casques bleus de l’ONU auraient renforcé leurs patrouilles dans la ville, et les habitants ont signalé que des avions militaires survolaient la zone.
Ces tirs, attribués aux rebelles islamistes, intervenaient après une attaque mercredi contre un véhicule militaire aux environs de Kidal qui a fait trois blessés parmi les soldats, a signalé une source au sein des forces armées françaises, qui est citée par l’Agence Reuters.
Ces violences sont intervenues à trois jours des élections législatives prévues dimanche au Mali, un vote considéré comme la dernière étape dans le retour à un régime démocratique civil, suite au coup d’Etat de mars 2012 qui avait plongé le pays dans le chaos.
Des groupes islamistes se sont alors emparés du nord du pays, où ils ont imposé une version stricte de la charia, la loi islamique, pendant neuf mois. La France, ancienne puissance coloniale, est intervenue en janvier pour les repousser. Les troupes françaises, appuyées par des forces africaines et maliennes, supervisent toujours la sécurité.
Au moins trois explosions ont retenti en début de journée, signalent des habitants et des sources sécuritaires. Les tirs n’auraient pas fait de victimes. Les casques bleus de l’ONU auraient renforcé leurs patrouilles dans la ville, et les habitants ont signalé que des avions militaires survolaient la zone.
Ces tirs, attribués aux rebelles islamistes, intervenaient après une attaque mercredi contre un véhicule militaire aux environs de Kidal qui a fait trois blessés parmi les soldats, a signalé une source au sein des forces armées françaises, qui est citée par l’Agence Reuters.
Ces violences sont intervenues à trois jours des élections législatives prévues dimanche au Mali, un vote considéré comme la dernière étape dans le retour à un régime démocratique civil, suite au coup d’Etat de mars 2012 qui avait plongé le pays dans le chaos.
Des groupes islamistes se sont alors emparés du nord du pays, où ils ont imposé une version stricte de la charia, la loi islamique, pendant neuf mois. La France, ancienne puissance coloniale, est intervenue en janvier pour les repousser. Les troupes françaises, appuyées par des forces africaines et maliennes, supervisent toujours la sécurité.