L’ONG basée à Londres dénonce les viols et autres actes de violence commis contre les femmes dans les camps de réfugiés de l’est du Tchad. Plus de 260 000 réfugiés du Darfour, en majorité des femmes et des enfants, vivent dans ces camps. On y trouve également 150 000 réfugiés centrafricains et déplacés tchadiens.
Selon Christian Mukoza, en charge de l’Afrique centrale à Amnesty International, il faut que les coupables soient traduits en justice par le Tchad, avec assistance internationale si nécessaire.