Environ 3.000 Centrafricains, dont le Premier ministre, ont manifesté lundi à Bangui pour exiger la levée de l'embargo sur les armes en Centrafrique, décrété par l'ONU en 2013.
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans les rues de Bangui et dans certaines villes du pays pour exiger du Conseil de Sécurité de l'ONU, la levée de cette sanction. Reportage de Freeman Sipila.
Environ 3.000 Centrafricains, dont le Premier ministre, ont manifesté lundi à Bangui pour exiger la levée de l'embargo sur les armes en Centrafrique, décrété par l'ONU en 2013, a constaté l'AFP.
Les pourparlers entre le gouvernement centrafricain et les groupes armés ont été officiellement lancés à Khartoum, la capitale soudanaise, sous les auspices de l’Union africaine. L’objectif est de ramener la paix dans ce pays en proie à des violences sévères depuis plusieurs années.
Pour la première fois depuis le début de la crise centrafricaine en 2012, de hauts responsables du pouvoir à Bangui ont dialogué avec les groupes armés à Khartoum au Soudan. Dans ces discussions à huis clos selon les Nations Unies, les groupes armés ont exposé vendredi matin aux autorités leurs reve
En RCA, les yeux sont tournés vers Khartoum. La capitale Soudanaise abrite, à partir de ce soir des pourparlers inter centrafricains pour une sortie de crise.
Des pourparlers de paix entre les autorités de Bangui et les 14 groupes armés opérant sur le territoire centrafricain ont débuté jeudi à Khartoum, a annoncé la mission de l'ONU en Centrafrique (Minusca).
Félix Yepassis-Zembrou, journaliste du service Sango de VOA Afrique analyse l'extradition vers la CPI, Patrice-Edouard Ngaïssona, patron du football centrafricain et ex-milicien antibalaka et l'impacte sur le dialogue de paix.
Paris a remis ce mercredi à la Cour pénale internationale Patrice-Edouard Ngaïssona. Il est le patron du football centrafricain.
La situation sécuritaire de Bambari, ville stratégique du centre de la Centrafrique théâtre de violents affrontements mi-janvier entre un groupe armé et l'ONU, est "sous contrôle", a annoncé mercredi la mission de l'ONU en Centrafrique (Minusca).
Patron du football centrafricain et ex-milicien, Patrice-Edouard Ngaïssona, arrêté à la mi-décembre en France, a été transféré mercredi à la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l'humanité et crimes de guerre présumés.
La France, qui avait vivement critiqué un processus parallèle lancé par Moscou, s'est "félicitée" de l'ouverture de négociations entre groupes armés et gouvernement centrafricain sous l'égide de l'Union africaine (UA) jeudi à Khartoum, espérant la "signature rapide d'un accord de paix".
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