Arrestation au Burundi d’une vingtaine d’opposants. Ces membres du Conseil national pour la liberté, un des principaux partis d'opposition, sont accusés de tentative d'assassinat.
Une vingtaine de responsables locaux du Conseil national pour la liberté (CNL), un des principaux partis d'opposition du Burundi, ont été arrêtés depuis vendredi pour tentative d'assassinat, a déclaré mardi le parti à l'AFP.
Reporter sans frontières (RSF) a exigé jeudi la libération de quatre journalistes burundais et de leur chauffeur, arrêtés deux jours plus tôt par la police au Burundi, alors qu'ils couvraient l'incursion meurtrière de rebelles burundais venus de la République démocratique du Congo (RDC) voisine.
La justice française doit rendre lundi sa décision concernant un ex-ministre du Burundi et son épouse, accusés d’avoir exploité pendant 10 ans un Burundais chez eux, en région parisienne.
Au Burundi, la situation de la santé maternelle et infantile est alarmante, selon Valentin Kavakure, le président de l’Association «A Better Burundi» engagée dans la réduction de la mortalité maternelle et infantile.
"Notre vie a de la valeur, vous ne devez jamais l'oublier", plaide une jeune Burundaise née avec le VIH, aux côtés du président Emmanuel Macron, lors de la conférence de refinancement du Fonds mondial contre les maladies infectieuses à Lyon.
Au Burundi, quatre membres des Imbonerakure, la ligue des jeunes du parti au pouvoir, ont été condamnés à la prison à perpétuité pour l’assassinat d’un opposant en août.
Un premier groupe de Burundais réfugiés en Tanzanie a été rapatrié, a indiqué le Haut-Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés.
Bujumbura a annoncé qu'un premier groupe de ses réfugiés en Tanzanie va rentrer au Burundi dans le cadre du rapatriement prévu par les deux pays. Des ONG dénoncent un retour forcé de ces réfugiés burundais.
Le chef de la diplomatie du Burundi, Ezéchiel Nibigira, a mis en garde l'ONU contre toute velléité d'intervenir dans l'élection présidentielle de 2020. Ce qui serait considérée selon le chef de la diplomatie burundaise comme "une atteinte à sa souveraineté.
Le chef de la diplomatie du Burundi, Ezéchiel Nibigira, a mis en garde lundi l'ONU contre toute velléité d'intervenir dans l'élection présidentielle de 2020, qui serait considérée comme "une atteinte à (sa) souveraineté".
Le président du Sénat burundais, Réverien Ndikuriyo, a annoncé qu'il avait mis à prix la tête d'un homme au plus fort de la crise au Burundi en 2015 pour quelque 2.450 euros, selon un enregistrement audio authentifié jeudi par l'AFP.
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