La mort de 15 soldats mardi dans une double attaque à Namsiguia, dans le Centre-Nord du Burkina Faso suscite des interrogations sur les moyens alloués à l’armée. Mais des organisations proches de la transition espèrent une montée en puissance de l’armée.
Le gouvernement burkinabè dit avoir entamé des négociations avec les terroristes pour les exhorter à déposer les armes. Il a créé des comités locaux de dialogues. Mais l’Etat rassure qu’il ne met rien sur la table pour ces négociations.
Le président du Burkina Faso renversé par un coup d'Etat en janvier, Roch Marc Christian Kaboré, a rencontré vendredi à Abidjan le chef de l'Etat ivoirien Alassane Ouattara, a-t-on appris de source proche de l'entourage de M. Kaboré.
L'armée du Burkina Faso va réorganiser ses unités combattantes pour récupérer les territoires perdus ces dernières années aux groupes jihadistes, dont la violence ne cesse d'augmenter, a annoncé vendredi le ministre de la Défense.
L'ancien président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré a été autorisé à quitter son pays pour "raison médicale", sa première sortie à l'étranger depuis qu'il a été renversé par des militaires en janvier, a appris l'AFP jeudi auprès de son entourage et de source gouvernementale.
Au Faso, 15 soldats ont été tués dans une double attaque à Namsiguia (centre-nord). Au lendemain de ces attaques meurtrières, analystes et observateurs se posent des questions sur les moyens alloués à l’armée. Des organisations proches de la transition espèrent une montée en puissance de l’armée.
Quinze soldats burkinabè ont été tués mardi lors d'une double attaque à l'engin explosif commise par des jihadistes présumés dans le nord du Burkina Faso, a annoncé l'état-major des armées dans un communiqué.
Au moins dix civils, dont quatre supplétifs de l'armée, ont été tués lundi lors d'une attaque de jihadistes présumés dans le nord du Burkina Faso, a appris mardi l'AFP de sources sécuritaires et locale.
Neuf supplétifs civils de l'armée et trois soldats ont été tués jeudi dans des attaques simultanées de jihadistes présumés dans le nord du Burkina Faso, a appris vendredi l'AFP de sources sécuritaires et locale.
L'armée burkinabè a reconnu ce mercredi la mort de civils lors de frappes aériennes contre des "groupes terroristes" dans l'est du Burkina Faso, sans préciser leur nombre. Des habitants de la région parlent d'une "trentaine" de tués.
L'armée burkinabè a reconnu mercredi la mort de civils lors de frappes aériennes contre des "groupes terroristes" dans l'est du Burkina Faso, sans en préciser le nombre, des habitants de la région interrogés par l'AFP parlant d'une "trentaine" de tués.
Les habitants de la ville de Sebba, chef-lieu de la province du Yagha, dans le nord du Burkina Faso, soumis à un "blocus" de groupes jihadistes depuis un mois, ont lancé un cri d'alarme, se disant menacés de famine, ce qu'a confirmé une ONG.
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