Deux gendarmes burkinabè ont été tués et un grièvement blessé après une attaque hier à Arbinda. Samedi, 15 personnes ont péri dans deux attaques séparées dans le nord du pays.
Le nouveau code pénal adopté au Burkina Faso continue de faire des vagues. Certaines dispositions de cette loi restreignent les libertés. La diffusion d’information sur les opérations militaires est un délit passible de 10 ans de prison maximum.
Cap sur le Burkina Faso pour ouvrir ce journal: Quinze personnes ont été tuées samedi dernier lors de deux nouvelles attaques de djihadistes dans le nord du pays. Le gouvernement indique que l'armée a immédiatement été déployée sur les lieux et a mis en déroute les groupes terroristes, notamment pou
Au Burkina Faso, 15 personnes ont été tuées samedi lors de deux attaques dans le Nord du pays. Selon le ministre de la Défense, Chériff Sy, des boutiques ont été détruites.
Quinze personnes ont été tuées samedi lors de deux nouvelles attaques de jihadistes, à Sagho et Toékodogo, des localités du nord du Burkina Faso, a annoncé lundi le ministre de la Défense Chériff Sy.
Au Burkina Faso, le nouveau code pénal adopté par l’Assemblée nationale continue de susciter des critiques. Certaines de ses dispositions restreignent, dit-on, les libertés et peuvent condamner jusqu’à 10 ans de prison pour diffusion d’information sur les opérations militaires.
L'Assemblée nationale du Burkina Faso a adopté vendredi un nouveau code pénal condamnant de peines allant jusqu'à 10 ans de prison la diffusion d’informations sur les opérations militaires, dénoncé par des journalistes et des ONG comme liberticide.
Une attaque terroriste menée par un groupe d'individus non identifiés a été perpétrée mercredi contre Beléhédé, un village du département de Tongomayel dans le Soum, au Burkina Faso.
Au Burkina Faso, dix-sept personnes ont été tuées dans la nuit de mardi à mercredi au cours d'une attaque djihadiste à Béléhédé, dans le nord du pays, selon les déclarations du ministre de la Défense Chériff Sy ce mercredi.
Les attaques mardi dans le nord du Burkina (17 morts) et aux portes de Niamey (2 policiers tués) illustrent à quel point les forces de sécurité nationales ou étrangères au Sahel peinent à enrayer les assauts répétés des groupes jihadistes et l'extension des zones d'insécurité.
Le procureur du tribunal militaire de Ouagadougou a requis lundi la prison à vie pour les deux principaux accusés du procès du putsch manqué de 2015 au Burkina Faso, les généraux Gilbert Diendéré et Djibrill Bassolé.
Le procès du putsch manqué de 2015 au Burkina Faso, suspendu depuis fin avril en raison d'un mouvement d'humeur des avocats, a repris mardi au tribunal militaire de Ouagadougou, avec les plaidoiries, a constaté un journaliste de l'AFP.
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