L’armée du Burkina Faso est accusée d'avoir tué, au milieu de la nuit du 3 au 4 février, 57 civils dans quatre villages du nord du pays, selon des témoignages. Les autorités du pays nient énergiquement ces accusations.
Le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernementAfrique, Remis Dandjinou dit à ceux qui accusent l'armée de commettre des abus dans le village de Banh, de saisir la justice.
Abdourahmane Barry, un ressortissant du village de Banh, accuse l’armée burkinabè d’avoir « systématiquement abattus » 57 civils.
Confronté à une multiplication sans précédent des attaques jihadistes, le Burkina Faso a procédé à une vaste réorganisation à la tête de son armée en nommant une série de nouveaux chefs.
L’armée burkinabé est accusée d’exactions sur des civils. Le gouvernement se défend et met au défi quiconque de porter les preuve devant la Justice. Le gouvernement dément catégoriquement ces informations. Pour porte-parole du gouvernement, l’armée burkinabè est professionnelle. Remis Dandjinou a ét
Au Burkina Faso, le président Roch Kaboré a signé huit décrets, désignant un nouveau chef d'état-major de l'armée de terre et des nouveaux responsables à la tête des trois régions militaires du pays.
Nouvelles accusations graves contre l’armée burkinabè. Selon un témoin joint ce soir par VOA Afrique, dans le nord du pays, les forces de l’ordre ont abattu froidement des dizaines de civils. Les faits se sont passés la semaine dernière
Deux civils ont été tués jeudi dans une "attaque terroriste" contre une brigade de gendarmerie à Kongoussi, dans le nord du Burkina Faso, a annoncé l'état-major général des armées dans un communiqué.
Les chefs d’Etat du G5 Sahel sont réunis à Ouagadougou pour la 5e conférence de l’organisation sous-régionale. Le Burkina prend la présidence du G5, mais les défis sécuritaires restent nombreux dans le pays.
Les chefs d'Etat du G5 Sahel réunis pour un sommet mardi à Ouagadougou ont répété leur "préoccupation" face aux attaques jihadistes et redemandé un effort, notamment financier, des Nations unies, lors de leur déclaration finale.
Les chefs d'Etat du G5 Sahel réunis pour un sommet à Ouagadougou doivent aborder la situation sécuritaire au Burkina Faso, où les attaques djihadistes se multiplient, avec 14 personnes tuées lundi.
Les chefs d'Etat du G5 Sahel réunis pour un sommet mardi à Ouagadougou sont appelés à réfléchir à des solutions pour tenter d'enrayer la spirale infernale dans laquelle s'enfonce le Burkina Faso, où les attaques jihadistes se multiplient, avec encore 14 personnes tuées lundi.
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