Dans un rapport publié mercredi, le Bureau Conjoint des Nations Unies aux droits de l'homme en République démocratique du Congo (RDC) détaille une série de violations des droits humains commises dans le Nord-Kivu, entre avril et septembre 2012.
Ces crimes incluent des cas documentés de viols et de mutilations sexuelles. Le nombre de cas des violences sexuelles pourrait être considérablement supérieur, les enquêteurs n'ayant pas pu confirmer toutes les violations qu’on leur a signalées.
« Je condamne dans les termes les plus forts possibles, ces attaques brutales, qui ont été commises sur base ethnique par des groupes armés », a déclaré la Représentante spéciale du Secrétaire général chargée de la question des violences sexuelles en conflit, Zainab Hawa Bangura.
« Les violences sexuelles en période de conflit sont non seulement une attaque contre des individus, mais aussi une atteinte à la paix et la sécurité des communautés entières » a-t-elle poursuivi. « Elles rendent la réconciliation post-conflit plus difficile, et entravent aux efforts visant à créer une paix durable ».
Mme Hawa Bangura a appelé le gouvernement Kabila à prendre immédiatement des mesures supplémentaires adéquates pour rétablir la sécurité et assurer la protection des civils.
Ces crimes incluent des cas documentés de viols et de mutilations sexuelles. Le nombre de cas des violences sexuelles pourrait être considérablement supérieur, les enquêteurs n'ayant pas pu confirmer toutes les violations qu’on leur a signalées.
« Je condamne dans les termes les plus forts possibles, ces attaques brutales, qui ont été commises sur base ethnique par des groupes armés », a déclaré la Représentante spéciale du Secrétaire général chargée de la question des violences sexuelles en conflit, Zainab Hawa Bangura.
« Les violences sexuelles en période de conflit sont non seulement une attaque contre des individus, mais aussi une atteinte à la paix et la sécurité des communautés entières » a-t-elle poursuivi. « Elles rendent la réconciliation post-conflit plus difficile, et entravent aux efforts visant à créer une paix durable ».
Mme Hawa Bangura a appelé le gouvernement Kabila à prendre immédiatement des mesures supplémentaires adéquates pour rétablir la sécurité et assurer la protection des civils.