Le sommet de Kampala a pris fin ce week-end. Les participants ont demandé à leurs ministres de la Défense de se réunir « très vite pour travailler à l’opérationnalisation de la force internationale neutre, en vue de la déployer dans un délai de trois mois ». Cette force internationale est censée être déployée à la frontière entre la RDC et le Rwanda pour lutter contre les rébellions du Mouvement du 23 mars (M23) et des FDLR.
Les chefs d’Etat de la Conférence internationale de la région des Grands Lacs (CIRGL) ont approuvé la proposition de leurs ministres de la Défense, qui avaient suggéré à Goma, en août dernier, de placer la force neutre sous le mandat de l’Onu et de l’Union africaine.
Toutefois, les questions relatives au financement et à la constitution de cette force internationale restent encore sans réponse. Sans compter que la majorité des chefs d’Etat de la CIRGL ont brillé par leur absence à ce sommet. Sur les onze qu’on attendait, trois seulement étaient au rendez-vous : le Congolais Joseph Kabila, le Tanzanien Jakaya Kikwete, et l’Ougandais Yoweri Museveni, hôte du sommet.
Les chefs d’Etat de la Conférence internationale de la région des Grands Lacs (CIRGL) ont approuvé la proposition de leurs ministres de la Défense, qui avaient suggéré à Goma, en août dernier, de placer la force neutre sous le mandat de l’Onu et de l’Union africaine.
Toutefois, les questions relatives au financement et à la constitution de cette force internationale restent encore sans réponse. Sans compter que la majorité des chefs d’Etat de la CIRGL ont brillé par leur absence à ce sommet. Sur les onze qu’on attendait, trois seulement étaient au rendez-vous : le Congolais Joseph Kabila, le Tanzanien Jakaya Kikwete, et l’Ougandais Yoweri Museveni, hôte du sommet.