Le calme est revenu ce jeudi à Kamango, une localité de l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) qui a été le théâtre mercredi de violents affrontements entre des FARDC (Forces armées de la République démocratique du Congo) appuyés par la Mission de l’Organisation des Nations-Unies pour la stabilisation du Congo (MONUSCO), et des rebelles ougandais des ADF/Nalu. Ces derniers ont occupé Kamango pendant plusieurs heures mercredi.
Selon le lieutenant-colonel Félix Prosper Basse, porte-parole militaire de la Monusco, les rebelles ont forcé les FARDC à se replier de Kamango vers le sud. La Monusco « a immédiatement déployé deux hélicoptères d’attaque qui ont survolé la position pour reconnaitre l’endroit et ont ensuite engagé des positions tenues par les rebelles de l’ADF/Nalu, en soutien à une contre-offensive lancée par les FARDC sur le terrain », a-t-il dit. L’armée congolaise a pu reprendre Kamango.
« Jeudi … la situation est revenue au calme, et les FARDC contrôlent la situation sur le terrain », a-t-il poursuivi, tandis que la Monusco renforçait ses positions et enclenchait des patrouilles. Quant au bilan humain provisoire, « Nous avons connaissance de cinq tués du côté des troupes gouvernementales, et sept autres civils qui auraient été tués suite à ces attaques. Nous avons dénombré aussi treize blessés aussi bien parmi les populations civiles que les éléments FARDC », a précisé le colonel Basse. Maintenant impossible de chiffrer les pertes du côté des rebelles, a-t-il souligné.
Selon le lieutenant-colonel Félix Prosper Basse, porte-parole militaire de la Monusco, les rebelles ont forcé les FARDC à se replier de Kamango vers le sud. La Monusco « a immédiatement déployé deux hélicoptères d’attaque qui ont survolé la position pour reconnaitre l’endroit et ont ensuite engagé des positions tenues par les rebelles de l’ADF/Nalu, en soutien à une contre-offensive lancée par les FARDC sur le terrain », a-t-il dit. L’armée congolaise a pu reprendre Kamango.
« Jeudi … la situation est revenue au calme, et les FARDC contrôlent la situation sur le terrain », a-t-il poursuivi, tandis que la Monusco renforçait ses positions et enclenchait des patrouilles. Quant au bilan humain provisoire, « Nous avons connaissance de cinq tués du côté des troupes gouvernementales, et sept autres civils qui auraient été tués suite à ces attaques. Nous avons dénombré aussi treize blessés aussi bien parmi les populations civiles que les éléments FARDC », a précisé le colonel Basse. Maintenant impossible de chiffrer les pertes du côté des rebelles, a-t-il souligné.