Al-Qaïda et les milices liées au réseau terroriste continuent de présenter une menace grave pour les Etats-Unis et leurs alliés. C’est ce qu’affirme le département d'Etat américain dans son rapport annuel sur le terrorisme international.
La disparition de plusieurs dirigeants d'Al-Qaïda au Pakistan et en Afghanistan a « accéléré » la décentralisation du réseau, affirme le document. On aboutit à des milices « autonomes sur le plan opérationnel » et « plus agressives », notamment au Yémen, en Syrie, Irak, Afrique du Nord et en Somalie.
L'Iran reste, selon le département d’Etat, l’un des principaux commanditaires du terrorisme d'Etat et continue de défier la communauté internationale, qui lui demande de prouver qu’elle poursuit son programme nucléaire à des fins pacifiques.
Le rapport indique que la violence terroriste en 2013 a été alimentée par les rivalités sectaires, en particulier en Syrie, au Liban et au Pakistan, où les victimes étaient principalement des civils.
Le réseau Al-Qaïda et autres milices financent leurs opérations par des enlèvements contre rançon et autres activités criminelles telles que l'extorsion et fraude à la carte bancaire. Les dons privés de ressortissants du Golfe arabo-persique restent également une importante source de financement des factions terroristes en Syrie.
Parmi les parrains du terrorisme international, on compte toujours la Syrie, Cuba et le Soudan, en plus de l'Iran, affirme le département d’Etat américain. Et puis, les « délinquants solitaires », restent une menace sérieuse. Parmi eux : les auteurs de l’attentat du marathon de Boston, le 15 avril 2013, lorsque deux bombes artisanales ont fait trois morts et environ 264 blessés.
En ce qui concerne l'Afrique, le continent a également « connu des niveaux significatifs de terrorisme » l'année dernière, selon le rapport qui identifie la milice somalienne des shebab comme la principale menace pesant sur le continent. Le département d’Etat salue les efforts de la France et des forces africaines pour repousser Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et d'autres groupes extrémistes dans le nord du Mali.
La disparition de plusieurs dirigeants d'Al-Qaïda au Pakistan et en Afghanistan a « accéléré » la décentralisation du réseau, affirme le document. On aboutit à des milices « autonomes sur le plan opérationnel » et « plus agressives », notamment au Yémen, en Syrie, Irak, Afrique du Nord et en Somalie.
L'Iran reste, selon le département d’Etat, l’un des principaux commanditaires du terrorisme d'Etat et continue de défier la communauté internationale, qui lui demande de prouver qu’elle poursuit son programme nucléaire à des fins pacifiques.
Le rapport indique que la violence terroriste en 2013 a été alimentée par les rivalités sectaires, en particulier en Syrie, au Liban et au Pakistan, où les victimes étaient principalement des civils.
Le réseau Al-Qaïda et autres milices financent leurs opérations par des enlèvements contre rançon et autres activités criminelles telles que l'extorsion et fraude à la carte bancaire. Les dons privés de ressortissants du Golfe arabo-persique restent également une importante source de financement des factions terroristes en Syrie.
Parmi les parrains du terrorisme international, on compte toujours la Syrie, Cuba et le Soudan, en plus de l'Iran, affirme le département d’Etat américain. Et puis, les « délinquants solitaires », restent une menace sérieuse. Parmi eux : les auteurs de l’attentat du marathon de Boston, le 15 avril 2013, lorsque deux bombes artisanales ont fait trois morts et environ 264 blessés.
En ce qui concerne l'Afrique, le continent a également « connu des niveaux significatifs de terrorisme » l'année dernière, selon le rapport qui identifie la milice somalienne des shebab comme la principale menace pesant sur le continent. Le département d’Etat salue les efforts de la France et des forces africaines pour repousser Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et d'autres groupes extrémistes dans le nord du Mali.