L'ancien Premier ministre pakistanais Nawaz Sharif revendique la victoire de son parti
M. Sharif a fait appel à tous les partis pakistanais à se joindre à lui pour débarrasser le pays de ses problèmes, dont l'inflation, le chômage, les coupures d'électricité, et une insurrection des talibans.
Le principal rival de M. Sharif, l’ancienne star du cricket, Imran Khan, a remporté son siège au parlement tandis que le Premier ministre sortant Raja Pervez Ashraf a perdu le sien.
Les responsables électoraux indiquent que participation a été extrêmement élevées. Les heures des bureaux de vote ont été prolongées d’une à trois heures dans certains endroits pour accueillir tous ceux qui attendent encore de voter.
La violence électorale a fait au moins 17 morts. Un double attentat à Karachi a tué au moins 10 personnes dans un bureau de campagne du Parti National Awami, l'un des partis visés par les talibans.
Plus de 100 personnes ont été tuées et des dizaines d’autres blessées depuis fin avril dans des attaques perpétrées par des talibans cherchant à saper l'élection. Ces derniers avaient d’ailleurs mis en garde contre d’éventuels attentats-suicides le jour du scrutin.
M. Sharif a fait appel à tous les partis pakistanais à se joindre à lui pour débarrasser le pays de ses problèmes, dont l'inflation, le chômage, les coupures d'électricité, et une insurrection des talibans.
Le principal rival de M. Sharif, l’ancienne star du cricket, Imran Khan, a remporté son siège au parlement tandis que le Premier ministre sortant Raja Pervez Ashraf a perdu le sien.
Les responsables électoraux indiquent que participation a été extrêmement élevées. Les heures des bureaux de vote ont été prolongées d’une à trois heures dans certains endroits pour accueillir tous ceux qui attendent encore de voter.
La violence électorale a fait au moins 17 morts. Un double attentat à Karachi a tué au moins 10 personnes dans un bureau de campagne du Parti National Awami, l'un des partis visés par les talibans.
Plus de 100 personnes ont été tuées et des dizaines d’autres blessées depuis fin avril dans des attaques perpétrées par des talibans cherchant à saper l'élection. Ces derniers avaient d’ailleurs mis en garde contre d’éventuels attentats-suicides le jour du scrutin.