Les négociations commerciales entre les Etats-Unis et l’Europe sur un accord de libre-échange, ont bien démarré comme prévu ici à Washington, en dépit des appels du président français François Hollande, qui avait réclamé un report, suite aux révélations d’espionnage américain.
Les Etats-Unis et l'Union européenne (UE) sont déjà des partenaires commerciaux clés, leurs échanges ayant dépassé 500 milliards d'euros en 2012.
Le négociateur en chef européen, Ignacio Garcia Bercero, et son homologue américain, Daniel Mullaney ont déclaré vendredi que la première semaine de discussions a été productive. Si les négociations aboutissement, les deux blocs pourraient forger un accord de libre-échange couvrant près de 50% de la production économique mondiale, 30% du commerce international et 20% des investissements directs étrangers.
Par ailleurs, les Américains pourraient réduire leur déficit commercial: en 2012, ils ont importé pour quelques 381 milliards de dollars de biens en provenance d’Europe. Par contre, ils n’ont exporté que 265 milliards de dollars vers le vieux continent.
Les deux parties espèrent forger un accord d'ici la fin de 2013. L'UE et les États-Unis cherchent à éliminer les obstacles réglementaires, bureaucratiques et protectionnistes au commerce. Il s’agit notamment de simplifier les normes exigées par les autorités des deux côtés de l’Atlantique pour autoriser la vente d’un produit sur leur territoire.
Selon le Centre for Economic Policy Research (CEPR) de Londres, qui est cité par l’Agence France Presse, un tel accord ambitieux de suppression des droits de douane et de réduction des barrières réglementaires pourrait générer un surcroît d'activité de plus de 100 milliards de dollars par an.
Le prochain cycle de négociations aura lieu en octobre à Bruxelles.
Les Etats-Unis et l'Union européenne (UE) sont déjà des partenaires commerciaux clés, leurs échanges ayant dépassé 500 milliards d'euros en 2012.
Le négociateur en chef européen, Ignacio Garcia Bercero, et son homologue américain, Daniel Mullaney ont déclaré vendredi que la première semaine de discussions a été productive. Si les négociations aboutissement, les deux blocs pourraient forger un accord de libre-échange couvrant près de 50% de la production économique mondiale, 30% du commerce international et 20% des investissements directs étrangers.
Par ailleurs, les Américains pourraient réduire leur déficit commercial: en 2012, ils ont importé pour quelques 381 milliards de dollars de biens en provenance d’Europe. Par contre, ils n’ont exporté que 265 milliards de dollars vers le vieux continent.
Les deux parties espèrent forger un accord d'ici la fin de 2013. L'UE et les États-Unis cherchent à éliminer les obstacles réglementaires, bureaucratiques et protectionnistes au commerce. Il s’agit notamment de simplifier les normes exigées par les autorités des deux côtés de l’Atlantique pour autoriser la vente d’un produit sur leur territoire.
Selon le Centre for Economic Policy Research (CEPR) de Londres, qui est cité par l’Agence France Presse, un tel accord ambitieux de suppression des droits de douane et de réduction des barrières réglementaires pourrait générer un surcroît d'activité de plus de 100 milliards de dollars par an.
Le prochain cycle de négociations aura lieu en octobre à Bruxelles.