Quelques 187 millions d’Indonésiens se rendaient aux urnes mercredi pour des élections législatives qui auront un grand impact sur la présidentielle de juillet prochain.
Selon des premiers résultats préliminaires, le principal parti d'opposition serait en tête, ont signalé les média peu après la fin du scrutin des élections parlementaires.
En Indonésie, l’organisation d’un scrutin national relève d’un défi herculéen. Près de 187 millions d’électeurs doivent voter dans plus d’un million de bureaux de vote éparpillés sur 900 îles. L’enjeu de ces législatives ne fait aucun doute : selon la loi électorale, un parti ou une coalition doit remporter au moins 25% des suffrages ou au moins 20% sièges au Parlement national pour pouvoir présenter un candidat à la présidence.
Selon les sondages, seul le PDI-P (Parti démocratique indonésien de la lutte), le populaire parti d’opposition, est à même de franchir ce seuil.
Les douze partis en lice ont mis le paquet durant la campagne pour s’attirer les électeurs, mais aucun n’a pu surmonter l’apparente popularité du PDI-P et son porte-étendard, Joko Widodo, un ancien gouverneur de Jakarta Ayany, avec une réputation d’homme aux mains propres.
Au pouvoir depuis presqu’une décennie, le président sortant, Susilo Bambang Yudhoyono, fait les frais de divers scandales de corruption et de la montée de l’intolérance religieuse.
Selon des premiers résultats préliminaires, le principal parti d'opposition serait en tête, ont signalé les média peu après la fin du scrutin des élections parlementaires.
En Indonésie, l’organisation d’un scrutin national relève d’un défi herculéen. Près de 187 millions d’électeurs doivent voter dans plus d’un million de bureaux de vote éparpillés sur 900 îles. L’enjeu de ces législatives ne fait aucun doute : selon la loi électorale, un parti ou une coalition doit remporter au moins 25% des suffrages ou au moins 20% sièges au Parlement national pour pouvoir présenter un candidat à la présidence.
Selon les sondages, seul le PDI-P (Parti démocratique indonésien de la lutte), le populaire parti d’opposition, est à même de franchir ce seuil.
Les douze partis en lice ont mis le paquet durant la campagne pour s’attirer les électeurs, mais aucun n’a pu surmonter l’apparente popularité du PDI-P et son porte-étendard, Joko Widodo, un ancien gouverneur de Jakarta Ayany, avec une réputation d’homme aux mains propres.
Au pouvoir depuis presqu’une décennie, le président sortant, Susilo Bambang Yudhoyono, fait les frais de divers scandales de corruption et de la montée de l’intolérance religieuse.