"Nous souhaitons aller à Genève, mais tout le monde doit être sérieux, pas seulement le régime d'Assad mais aussi ses alliés russes", a déclaré devant la presse un porte-parole de la coalition, Khaled Saleh, avant d’appeler Moscou à exercer "une très forte pression" sur Damas.
La rébellion syrienne avait précisé qu’elle assisterait aux discussions seulement si le président syrien Bachar al-Assad démissionnait avant la rencontre, dite Genève 2.
Mais l'émissaire de la Ligue Arabe et de l'ONU pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, avait souligné qu'il ne pouvait y avoir aucune condition préalable.
La prochaine rencontre de Genève n’a pas encore été fixée, mais certains dirigeants occidentaux ont exprimé le souhait de voir sa tenue avant fin 2013.
La rébellion syrienne avait précisé qu’elle assisterait aux discussions seulement si le président syrien Bachar al-Assad démissionnait avant la rencontre, dite Genève 2.
Mais l'émissaire de la Ligue Arabe et de l'ONU pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, avait souligné qu'il ne pouvait y avoir aucune condition préalable.
La prochaine rencontre de Genève n’a pas encore été fixée, mais certains dirigeants occidentaux ont exprimé le souhait de voir sa tenue avant fin 2013.