Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté jeudi soir une résolution qui renforce la Mission de l'ONU en République démocratique du Congo (RDC) en créant pour la première fois une force d'intervention chargée de combattre les groupes armés opérant dans l'Est.
Cette "brigade d'intervention" qui devrait compter plus de 2.500 hommes, selon la résolution, aura la tâche de "mener des opérations offensives et ciblées", seule ou aux côtés de l'armée congolaise, pour "stopper le développement de tous les groupes armés, les neutraliser et les désarmer".
Immédiatement après son adoption, le chef des opérations de maintien de la paix des Nations-Unies, Hervé Ladsous, s’est exprimé sur le sujet dans une interview avec notre collègue Maya fayek de la radio des Nations Unies.
e gouvernement congolais s’est félicité de la création de cette force.
Ecoutez Lambert Mende, ministre de la communication et porte-parole du gouvernement de la RDC.
Les Nations unies ont donné une semaine aux autorités congolaises pour agir contre les soldats de deux bataillons de l'armée accusés d'avoir commis au moins 126 viols. Ces actes commis le 20 novembre dernier dans la ville de Minova sont restés jusque-là impunis. Mais le colonel Olivier Hamuli, porte-parole des FARDC, invite à la patience, assurant que justice sera faite.
Dans la société civile congolaise, on salue cette décision onusienne, comme nous le dit le porte-parole de la Société Civile de Goma, dans le Nord-Kivu.
Cette "brigade d'intervention" qui devrait compter plus de 2.500 hommes, selon la résolution, aura la tâche de "mener des opérations offensives et ciblées", seule ou aux côtés de l'armée congolaise, pour "stopper le développement de tous les groupes armés, les neutraliser et les désarmer".
Immédiatement après son adoption, le chef des opérations de maintien de la paix des Nations-Unies, Hervé Ladsous, s’est exprimé sur le sujet dans une interview avec notre collègue Maya fayek de la radio des Nations Unies.
e gouvernement congolais s’est félicité de la création de cette force.
Ecoutez Lambert Mende, ministre de la communication et porte-parole du gouvernement de la RDC.
Les Nations unies ont donné une semaine aux autorités congolaises pour agir contre les soldats de deux bataillons de l'armée accusés d'avoir commis au moins 126 viols. Ces actes commis le 20 novembre dernier dans la ville de Minova sont restés jusque-là impunis. Mais le colonel Olivier Hamuli, porte-parole des FARDC, invite à la patience, assurant que justice sera faite.
Dans la société civile congolaise, on salue cette décision onusienne, comme nous le dit le porte-parole de la Société Civile de Goma, dans le Nord-Kivu.