Les observateurs internationaux des récentes élections législatives en Guinée ont exprimé des préoccupations quant à la crédibilité du scrutin dans plusieurs circonscriptions, relevant des ”irrégularités” à même, selon eux, de changer les résultats dans ces zones.
Dans une déclaration conjointe parue mardi soir, les représentants de l’ONU, de la France, des États-Unis et de la CEDEAO ont fait état d’un nombre significatif de bulletins de vote n’ayant pas été pris en compte, à cause de ces irrégularités, ce qui met en doute les résultats.
Des résultats partiels publiés la semaine dernière indiquent une avance de l’alliance RPG - Arc-en-Ciel du président Alpha Condé dans plusieurs circonscriptions. Mais l’opposition rejette ces résultats, arguant que le scrutin était entaché de fraudes massives, y compris le bourrage des urnes.
Le président guinéen semble minimiser ces allégations qu’il qualifie, d’ailleurs, de rhétorique politique. Alpha Condé avertit qu’il ne permettra à aucun groupe de déstabiliser la Guinée.
Le vote du 28 septembre 2013 était censé parachever une transition politique entamée avec l’élection de M. Condé en 2010. Ces législatives avaient été reportées à plusieurs reprises, en partie à cause des affrontements violents entre groupes rivaux et des menaces de violence.
Dans une déclaration conjointe parue mardi soir, les représentants de l’ONU, de la France, des États-Unis et de la CEDEAO ont fait état d’un nombre significatif de bulletins de vote n’ayant pas été pris en compte, à cause de ces irrégularités, ce qui met en doute les résultats.
Des résultats partiels publiés la semaine dernière indiquent une avance de l’alliance RPG - Arc-en-Ciel du président Alpha Condé dans plusieurs circonscriptions. Mais l’opposition rejette ces résultats, arguant que le scrutin était entaché de fraudes massives, y compris le bourrage des urnes.
Le président guinéen semble minimiser ces allégations qu’il qualifie, d’ailleurs, de rhétorique politique. Alpha Condé avertit qu’il ne permettra à aucun groupe de déstabiliser la Guinée.
Le vote du 28 septembre 2013 était censé parachever une transition politique entamée avec l’élection de M. Condé en 2010. Ces législatives avaient été reportées à plusieurs reprises, en partie à cause des affrontements violents entre groupes rivaux et des menaces de violence.