Au Gabon, la campagne pour les législatives du 17 décembre a débuté ce mercredi, sur fond de protestations de l’opposition qui a réclamé, sans succès, l’introduction de la biométrie. Fer de lance de ce mouvement: l’UPG (Union du peuple gabonais). Pourtant, au moins certains dirigeants de cette formation politique ont opté pour la participation, malgré tout. La VOA a joint pour des précisions Sylvestre Ndong Assoumou, député à l’Assemblée nationale.
Contrairement au député Sylvestre Ndong Assoumou, d’autres figures de la classe politique gabonaise rejettent le processus électoral, vicié à la base, selon eux. Dieudonné Minlama est Président de l’Observatoire national pour la Démocratie. Il explique pourquoi, selon lui, il y a eu si peu d’engouement au début de la campagne.