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La CAN-2017 se déroulera du 14 janvier au 5 février au Gabon


Issa Hayatou, du Cameroun, président de la confédération de football CAF africaine, à droite, assis aux côté de Mounir Thabet, président du Comité olympique égyptien lors du tirage au sort pour la Coupe d'Afrique des Nations Egypte 2006 , 10 février 2006.
Issa Hayatou, du Cameroun, président de la confédération de football CAF africaine, à droite, assis aux côté de Mounir Thabet, président du Comité olympique égyptien lors du tirage au sort pour la Coupe d'Afrique des Nations Egypte 2006 , 10 février 2006.

Le calendrier de la Confédération africaine de football (CAF) qui prévoit un tirage au sort le 19 octobre à Libreville, n'est pas changé, rassure Junior Binyam, porte-parole de la CAF.

L'édition 2017 de la Coupe d'Afrique des nations (CAN) qui aura lieu au Gabon se déroulera du 14 janvier au 5 février 2017, a indiqué à l'AFP Junior Binyam, le directeur des médias et porte-parole de la Confédération africaine de football (CAF).

"Le tirage au sort se fera le 19 octobre à Libreville", a précisé M. Binyam.

"Le tournoi final est prévu du 14 janvier au 5 février, sur quatre villes, Libreville, Port-Gentil, Franceville, Oyem", a-t-il souligné.

"Il n'y a aucun changement, on suit la situation au Gabon", a expliqué à l'AFP Junior Binyam, le directeur des médias et porte-parole de la Confédération africaine de football (CAF), interrogé au sujet des émeutes au pays hôte de la CAN-2017 (21 janvier-12 février).

"Dans l'état actuel des choses, le calendrier communiqué par la CAF est maintenu, il n'y a pas de souci à se faire. Il y a un tirage au sort le 19 octobre prévu à Libreville, on n'y est pas encore", a ajouté Junior Binyam.

"On a les réunions annuelles de la CAF (basée au Caire) entre le 21 et le 27 septembre, toutes les commissions permanentes se réunissent, parmi lesquelles la commission d'organisation de la coupe d'Afrique des nations (...) La situation sera évaluée et discutée au moment des réunions annuelles", a-t-il encore expliqué.

A la question +existe-t-il un plan B ?+, Junior Binyam a répondu: "Ce n'est pas le moment de faire ce débat-là".

L'annonce de la réélection controversée du président sortant Ali Bongo mercredi en fin de journée par la commission électorale a déclenché une nuit d'émeutes meurtrières et de pillages à Libreville et dans d'autres villes du pays.

Avec AFP

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