Le scrutin a été boycotté par le Front Populaire Ivoirien, le parti de l'ancien président Laurent Gbagbo. Le FPI s’étant placé hors course, l'élection s’est jouée entre les deux partis au pouvoir - le Rassemblement des Républicains (RDR) du président Alassane Ouattara et le Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) de l'ex-chef d'Etat Henri Konan Bédié.
Le FPI a exigé une réforme de la commission électorale, une amnistie pour les crimes commis pendant la crise électorale de 2010–2011, et la libération de ses dirigeants emprisonnés, dont Laurent Gbagbo, qui est détenu à La Haye par la Cour Pénale Internationale.
Selon le porte-parole de la CEI, Inza Diomandé, le scrutin s’est déroulé dans le calme et sans incident majeur.
Le FPI a exigé une réforme de la commission électorale, une amnistie pour les crimes commis pendant la crise électorale de 2010–2011, et la libération de ses dirigeants emprisonnés, dont Laurent Gbagbo, qui est détenu à La Haye par la Cour Pénale Internationale.
Selon le porte-parole de la CEI, Inza Diomandé, le scrutin s’est déroulé dans le calme et sans incident majeur.