Dans un communiqué, le président des Etats-Unis a dit qu'il est «profondément préoccupé» par la décision de l'armée égyptienne et a appelé à un retour à la démocratie dès que possible. Il a également exhorté l'armée égyptienne à veiller à ce que les droits des civils soient protégés durant la transition.
Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a décrit le soulèvement en Egypte comme une « situation explosive » et a appelé à un retour à un régime civil « dès que possible ». Il a dit qu'il continue à soutenir les aspirations du peuple égyptien.
La Turquie, une alliée de l'Egypte qui a récemment lutté avec ses propres manifestations anti-gouvernementales, a exprimé sa préoccupation. Lors d'une conférence de presse jeudi, le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu a déclaré que l'éviction de M. Morsi par les militaires était «inacceptable» et «extrêmement alarmante».
Le parti présidentiel en Tunisie a condamné l'éviction par l'armée égyptienne de Mohamed Morsi, la qualifiant d'atteinte à la démocratie.
Par contre, les dirigeants de l'Arabie saoudite ont envoyé des messages de félicitations à l'Egypte. Le Qatar a déclaré qu'il continuera à soutenir la volonté du peuple égyptien.
Les Emirats arabes unis ont également exprimé leur soutien à la transition. Le président des EAU, Cheikh Khalifa bin Zayed al Nahyan, a félicité Adly Mansour.
Le président syrien Bachar al-Assad a, de son côté, salué le retrait de M. Morsi. Selon les médias d'Etat syriens, il a déclaré qu’après l'année de M. Morsi au pouvoir, le peuple égyptien avait découvert ce qu'il a appelé les «mensonges» du mouvement des Frères musulmans.
Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a décrit le soulèvement en Egypte comme une « situation explosive » et a appelé à un retour à un régime civil « dès que possible ». Il a dit qu'il continue à soutenir les aspirations du peuple égyptien.
La Turquie, une alliée de l'Egypte qui a récemment lutté avec ses propres manifestations anti-gouvernementales, a exprimé sa préoccupation. Lors d'une conférence de presse jeudi, le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu a déclaré que l'éviction de M. Morsi par les militaires était «inacceptable» et «extrêmement alarmante».
Le parti présidentiel en Tunisie a condamné l'éviction par l'armée égyptienne de Mohamed Morsi, la qualifiant d'atteinte à la démocratie.
Par contre, les dirigeants de l'Arabie saoudite ont envoyé des messages de félicitations à l'Egypte. Le Qatar a déclaré qu'il continuera à soutenir la volonté du peuple égyptien.
Les Emirats arabes unis ont également exprimé leur soutien à la transition. Le président des EAU, Cheikh Khalifa bin Zayed al Nahyan, a félicité Adly Mansour.
Le président syrien Bachar al-Assad a, de son côté, salué le retrait de M. Morsi. Selon les médias d'Etat syriens, il a déclaré qu’après l'année de M. Morsi au pouvoir, le peuple égyptien avait découvert ce qu'il a appelé les «mensonges» du mouvement des Frères musulmans.