Le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) avertit qu’une véritable course contre la montre est engagée pour venir en aide aux milliers de réfugiés soudanais dans l'est du Tchad, avant que la saison des pluies ne batte son plein.
L'arrivée des intempéries rendra plus difficile l'accès à cette zone en raison des inondations, a fait valoir une porte-parole du HCR à Genève, Fatoumata Lejeune-Kaba.
Plus de 30.000 personnes se sont installées à Tissi, localité isolée à la frontière avec le Darfour et la République centrafricaine. Parmi elles: des Soudanais ayant fui des affrontements tribaux au nord-ouest du Darfour, des Centrafricains installés auparavant au Darfour et quelques 20.000 Tchadiens.
En moyenne, 300 réfugiés continuent de franchir quotidiennement la frontière pour échapper aux violences, a poursuivi Mme Lejeune-Kaba.
La saison des pluies, qui dure de mai à novembre, rend les routes généralement impraticables. Or les réfugiés ont urgemment besoin d'abris, de vivres, d'eau potable et de soins médicaux.
L'arrivée des intempéries rendra plus difficile l'accès à cette zone en raison des inondations, a fait valoir une porte-parole du HCR à Genève, Fatoumata Lejeune-Kaba.
Plus de 30.000 personnes se sont installées à Tissi, localité isolée à la frontière avec le Darfour et la République centrafricaine. Parmi elles: des Soudanais ayant fui des affrontements tribaux au nord-ouest du Darfour, des Centrafricains installés auparavant au Darfour et quelques 20.000 Tchadiens.
En moyenne, 300 réfugiés continuent de franchir quotidiennement la frontière pour échapper aux violences, a poursuivi Mme Lejeune-Kaba.
La saison des pluies, qui dure de mai à novembre, rend les routes généralement impraticables. Or les réfugiés ont urgemment besoin d'abris, de vivres, d'eau potable et de soins médicaux.