Pascal Tsaty Mabiala, premier secrétaire de l'Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), le premier parti de l'opposition au Parlement, a affirmé que le Front républicain pour le respect de l'ordre constitutionnel et l'alternance démocratique (Frocad), qui regroupe l'essentiel de l'opposition, n’y participera pas.
"En repoussant la tenue du dialogue de deux jours, nous avons pensé que le président de la République allait tenir compte de notre doléance de retirer de l'ordre du jour le point sur l'avenir des institutions", mais "ça n'a pas été le cas", a déclaré à l’AFP.
Le dialogue national devrait, selon le décret présidentiel le convoquant, répondre à deux questions : "Comment organiser au mieux les scrutins à venir dans notre pays" et faut-il faire "évoluer les institutions de la République ?"