Le principal parti d'opposition au Togo, l'Union des forces du changement, l'UFC a désigné son président, Gilchrist Olympio, candidat à la présidentielle de 2010, une échéance à laquelle se prépare déjà l'opposant qui dénonce les lenteurs des réformes institutionnelles et constitutionnelles inscrites dans l'accord politique global signé à Lomé en 2006. Gilchrist Olympio exige du gouvernement surtout la réforme de la Constitution modifiée en 2002 par le défunt président Eyadema, opération qui l'avait écarté de la course à la présidence en 2005.
Rappelant qu'il dirige l'UFC depuis 16 ans et qu'il est heureux de pouvoir le représenter aux élections de 2010, le chef de l'opposition togolaise a souligné que « les élections au Togo n'ont jamais été ni libres, ni transparentes. » Il a dit espérer qu'avec les pressions à l'intérieur du Togo et au sein de la communauté international, le pays pourra avoir « des élections un peu plus transparentes et que, pour une fois, le Togo aura un gouvernement représentatif. » Le leader de l'opposition togolaise se dit optimiste que l'UFC remportera ces élections.
Rappelant qu'il dirige l'UFC depuis 16 ans et qu'il est heureux de pouvoir le représenter aux élections de 2010, le chef de l'opposition togolaise a souligné que « les élections au Togo n'ont jamais été ni libres, ni transparentes. » Il a dit espérer qu'avec les pressions à l'intérieur du Togo et au sein de la communauté international, le pays pourra avoir « des élections un peu plus transparentes et que, pour une fois, le Togo aura un gouvernement représentatif. » Le leader de l'opposition togolaise se dit optimiste que l'UFC remportera ces élections.